La liberté des oiseaux - Anja BAUMHEIER
Deux soeurs enquêtent sur leur enfance passée en RDA et sur les non-dits qui pèsent sur leur famille. Une fresque sublime et captivante.
De nos jours, Theresa reçoit une mystérieuse lettre annonçant le décès de sa sœur aînée Marlene. C'est à n'y rien comprendre. Car Marlene est morte il y a des années. C'est du moins ce que lui ont toujours dit ses parents. Intriguée, Theresa, accompagnée de son autre sœur Charlotte, part en quête de réponses. Se révèle alors l'histoire de leurs parents, l'arrivée à Berlin au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la carrière de leur père dans la Stasi, la suspicion et la paranoïa, l'influence terrible de son chef, Kolia. Mais surtout, la personnalité rebelle de Marlene, qui rêvait de fuir à l'Ouest...
Grande saga au formidable souffle romanesque, La Liberté des oiseaux retrace quatre-vingts ans d'histoire allemande et nous plonge au coeur de destinées ballottées par l'Histoire.
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commentaires
Yvonne
18 Mar 2023
Intrigue classique sur le thème du secret, des non-dits qui un jour ou l'autre sèment la zizanie.
Francine
27 Nov 2022
Saga familiale avec en toile de fond l'histoire de la RDA. Il y a de nombreux personnages qui apparaissent qu'on a parfois du mal à placer dans le contexte et l'époque.
Eddy
17 Nov 2022
J'ai bien aimé cette saga familiale qui mêle passé et présent, avec des personnages attachants, dans une Allemagne déchirée et qui nous rappelle les dérives du socialisme à la sauce RDA (espionnage, délation, privation de liberté...)
Un premier roman qui ne se lâche pas facilement
Un premier roman qui ne se lâche pas facilement
Nathalie
29 Août 2022
Un roman qui nous projette de l'autre côté du mur de Berlin, en RDA, à l'époque où la Stasi surveillait tout le monde, l'autrice avec sa belle plume nous raconte, en alternant passé et présent, l'histoire d'une famille qui lutte pour préserver son bonheur malgré les secrets et les non-dits. Les romans sur la RDA ont cette ambiance morose et grisâtre du manque de tout, surtout de liberté, cela me rend triste de penser à cette époque pas si lointaine.